« Hacking:GSM hack France » : différence entre les versions

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== Device proposé pour les tests ==
== Device proposé pour les tests ==
   * Samsung Galaxy S
   * Samsung Galaxy S
 
== Logiciels indispensables ==
  * [[script de déploiement radio]]
==Les pré-requis==
==Les pré-requis==
===Menu caché du SGS===
===Menu caché du SGS===
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   control["156"]="cec43159aa1d7ca4982f1c7417b8dd09";   
   control["156"]="cec43159aa1d7ca4982f1c7417b8dd09";   
   control["164"]="9558f5a7152ab8dddc6e5ff819a3fa5f";   
   control["164"]="9558f5a7152ab8dddc6e5ff819a3fa5f";   
   control["172"]="307cc99d1724bd1b460d7f39d6121048"; 
   control["17
  control["180"]="0cbd427fb98dc9cec05bc8cd9eec53c5"; 
  control["188"]="8771eba46785c636e606560265efcb6f"; 
  control["196"]="7f4fcaec2da609dd794ecff07f1ad890"; 
  control["204"]="69b40dc68cd9d26006f9b1f70ab676ad"; 
  control["212"]="9e9861bd2272b58737629b7c34eb1064"; 
  control["220"]="032414372c864417a502ef1eaaa42454"; 
  control["230"]="6afc1ca6c0005bf2df6782371c56700d"; 
  control["238"]="c6a95cda3e55079295cf97706dc9de2e"; 
  control["250"]="f54c106d3ea9ef442330c5156c14c832"; 
  control["260"]="2cf1377b93139fb2a7ec9f687b272d3c"; 
  control["268"]="af8167abdfd178a01b2bb3a2ee4f59c8"; 
  control["276"]="d422218e33cb6c421108469940c03d41"; 
  control["292"]="6995a5445330b78380b3ba16642318e9"; 
  control["324"]="2ecc836a993a3f71cd710c4455e9780e"; 
  control["332"]="75340dda19dc1b1ada8108d47461562a"; 
  control["340"]="1cc82ad35788afc4acab95f481e3de9d"; 
  control["348"]="183a3427843105942e9b0ab0a852c7db"; 
  control["356"]="771ec801ac043291b9f134f75f82a31d"; 
  control["364"]="59913ab26509afaecd8861a6877b06c6"; 
  control["372"]="1bbceb9afda870b76b7e9928409183de"; 
  control["380"]="435e2d2755aa5ce9357889bef5ee534f"; 
  control["388"]="fabeaa1792045a0ab5471aeac7271481"; 
  control["396"]="98de5b58c98fafc5ada3897eddf7f31a"; 
  control["404"]="5bc5814694b412cfb4ba52198492ba1b"; 
  control["412"]="4518baa2a1156451cbc0952eb216cb5f"; 
  control["420"]="3985446a74105d15f6c4b8bd0467771b"; 
  control["428"]="44f06b97410bda5b029754de9cc87db4"; 
  control["436"]="c3c48ba123a1ebd9ea6f0abaa56ac475";
  control["492"]="a0006b7b58e01b97d6bce1b43b015343"; 
  control["500"]="fa47f2242230b69c5ae7a1196ea0311f"
 
  for f in "${!control[@]}"; do
    export hash=`md5sum $f.dlt`;
    export expected="${control[$f]}  $f.dlt";
    if [ [ $expected != $hash ] ]
    then echo "/!\ Different Fichier $f hash:$hash control:${control[$f]}"
    fi
  done
 
On peut alors lancer Behemoth.py de Kraken. Il va falloir 4To en tout. Les 2To de fichier .dlt et 2To de fichier .idx qui vont être généré avec Behemoth.
On va utiliser un disque vierge de 2To /dev/sde1 qui contiendra nos fichiers dlt.
  mount /dev/sde1 /mnt/dltKraken
 
On va placer Kraken sur ce disque.
  cd /mnt/dltKraken
  cp -rf /source/kraken /mnt/dltKraken/
 
Il faut un fichier /mnt/dltKraken/tables.conf pour Behemoth qui va contenir le node de ce disque de destination(2To):
  Device: /dev/sdd1 40
/!\ Le disque de destination va être réécrit en grande partie. Les données seront écrasées.
 
On doit monter ce disque:
  mount /dev/sdd1 /mnt/dst    /!\ Le disque doit-il vraiment être monté?
 
On peut ensuite lancer Behemoth en lui indiquant où il va trouver les sources en .dlt
  /mnt/dltKraken/$ sudo ./indexes/Behemoth.py /mnt/dltKraken
 
Au fichier */mnt/dltKraken/tables.conf* behemoth va inclure les indexes de chaque offset pour chaque table sur le(s) disque(s).
#Devices:  dev/node max_tables
Device: /dev/mapper/Zanorg-root 40
 
#Tables: dev id(advance) offset
  Table: 0 132 10235086
  Table: 0 324 286566544
  Table: 0 172 40969789
  Table: 0 388 235403561
  Table: 0 396 173999725
  Table: 0 404 194467391
  Table: 0 260 143291756
  Table: 0 412 153536985
  Table: 0 364 122825759
  Table: 0 180 296801556
  Table: 0 292 102363709
  Table: 0 220 399139151
  Table: 0 372 112596452
  Table: 0 428 0
  Table: 0 436 71667455
  Table: 0 500 30736294
  Table: 0 188 245637901
  Table: 0 492 327502453
  Table: 0 100 266108608
  Table: 0 164 20505860
  Table: 0 196 255877713
  Table: 0 140 184229975
  Table: 0 204 347961807
  Table: 0 156 61435100
  Table: 0 212 317269082
  Table: 0 420 51203082
  Table: 0 348 163770598
  Table: 0 148 337732312
  Table: 0 356 225171847
  Table: 0 230 358191796
  Table: 0 340 378658386
  Table: 0 380 388890708
  Table: 0 108 133057445
  Table: 0 238 81901548
  Table: 0 116 214939911
  Table: 0 268 92131489
  Table: 0 332 368426161
  Table: 0 276 276337464
  Table: 0 250 204699650
  Table: 0 124 307030440
 
 
Behemoth va générer les index de ces tables(extension en .idx) dans le répertoire /mnt/dltKraken/kraken

Version du 17 août 2013 à 23:45

Matériel requis

 * RTL-SDR (R820T)

Le Rtl-Sdr est un recepteur TNT. Il s'achète pour 20$ en chine. Lorsque l'on exploite le tuneur de ce recepteur, il est possible de capter les fréquences de 24 à 1766 MHz.

Device proposé pour les tests

 * Samsung Galaxy S

Logiciels indispensables

 * script de déploiement radio

Les pré-requis

Menu caché du SGS

 *#*#197328640#*#*
 *#0011#

Prérequis logiciel

 Installer boost: http://netcologne.dl.sourceforge.net/project/boost/boost/1.54.0/boost_1_54_0.tar.bz2
 tar -xvzf boost_1_54_0.tar.bz2; cd boost_1_54_0; BOOST_PREFIX=/opt/boost_1_54_0; ./bootstrap.sh; ./b2 --prefix=$BOOST_PREFIX --with-thread --with-date_time --with-program_options --with-filesystem --with-system --layout=versioned threading=multi variant=release install
 #Compiler gnuradio
 cmake -DBOOST_ROOT=$BOOST_PREFIX -DBoost_INCLUDE_DIR=$BOOST_PREFIX/include/boost-1_54/ -DBoost_LIBRARY_DIRS=$BOOST_PREFIX/lib ../

Voici les étapes pour intercepter des trames GSM

Dans le cadre de nos tests nous allons intercepter la voix et les sms d'un Samsung Galaxy S 1.

Afin de nous caler sur une fréquence qui peut etre capté par le rtl-sdr nous allons forcer le GSM à utiliser la bande 900. Le GSM 900 utilise la bande 880-915 MHz pour l'envoi de la voix ou des données depuis le mobile et la bande 925-960 MHz pour la réception des informations venant du réseau.

Le téléphone dispose d'un menu secret permettant de forcer l'utilisation d'une bande:

 *#*#197328640#*#*

Puis on accède au menu

 [1] DEBUG SCREEN -> [8] PHONE CONTROL -> [7] NETWORK CONTROL -> [2] BAND SELECTION -> [3] GSM BAND[*] -> Puis on active [3] GSM 900 [*]

Nous pouvons vérifier que nous utilisons bien cette bande avec le menu secret:

 *#0011#

Ok, maintenant le téléphone est sur la bande GSM900. Nous devons maintenant sniffer sur un canal particulier, c'est l'arfcn. En effet, une bande est découpé en canaux. Chacune de ces bandes comprend 175 porteuses (canaux) de 200 kHz chacune ; elles sont, en France réparties entre 4 opérateurs (voir fréquences GSM en France). La modulation utilisée sur ces porteuses est la GMSK, qui permet d'éviter les chevauchements de porteuses.

Pour découvrir sur quel canal se trouve le téléphone, nous pouvons utiliser un autre menu secret:

 [1] DEBUG SCREEN -> [4] NEIGHBOUR CELL

Lors de ce test, le canal ayant le niveau de puissance le plus fort est:

 Arfcn_Num ; 37 , rxlev: 38
 [1] DEBUG SCREEN -> [1] BASIC INFORMATION

Le BcchFrq nous donne le numéro du canal Arfcn.


Nous pouvons donc calculer la fréquence corespondant à ce canal avec l'outil arfcncalc:

 arfcncalc -a 37 -b 900 -d

La fréquence est donc de 942.4Mhz

Sinon un outil en ligne permet de le calculer: www.cellmapper.net/arfcn?net=GSM&ARFCN=8&MNC=0

Avec gqrx, nous pouvons visualiser le spectre, et se caler sur le signal le plus fort. La fréquence est donc de 942.36Mhz. Nous pouvons sniffer cette fréquence et générer un fichier cfile avec gnuradio-companion. Voici le schema gsm.grc utilisé.

Nous pouvons ensuite visualiser les trames gsm dans wireshark à l'aide de gsm_receiver_rtl.py de la suite airprobe. Dans un premier temps, lancer la version patché de wireshark qui permet de filtrer les trames gsmtap et écouter sur l'interface lo. Ensuite analyser le dump.cfile avec gsm_receive_rtl.py

 /hack/phreaking/Radio/airprobe/gsm-receiver/src/python$ ./gsm_receive_rtl.py -I /tmp/dump.cfile  -d 1 B0

Les trames s'affichent alors dans wireshark.

Todo: Dechiffrement avec Kraken

 * S'inspirer de  www.mail-archive.com/a51@lists.reflextor.com/msg01114.html
 * lists.srlabs.de/pipermail/a51/2010-July/000683.html
 * Renommer tous les dlt en xxx.dlt (ex: 100.dlt)
 * Les placer à la racine d'un disque
 * Se servir de Behemoth.py

Behemoth va créer un indexe de ces rainbowtable(table d'échange, ou table arc-en-ciel). Il va alors générer un fichier tables.conf contenant les disques utilisées, et les offset sur le disque du début de chaque table.

Une table est l'ensemble de tout les hash possible pour un charset donné. Un charset est constitué d'un ensemble de caractère comme [ az-AZ ]. C'est une sorte de dictionnaire.

Behemoth.py va chercher des fichier du type [09]+.dlt Il faut donc placer les 40 tables et les renommer.

 #!/bin/bash
 for f in *.dlt; do
  echo "Processing $f file...";
  new=`echo $f| cut -d'_' -f 3`
  ln $f $new
 done

Voici un script pour controler que les tables de hash sont parfaites.

 #!/bin/bash
 control["100"]="6d36bca865ad5f5b3b95e50be5555f0a";   
 control["108"]="d89f2f62a471734fc86844261e709719";   
 control["116"]="9db534d5866cc6c8b18eef0bbf6aceae";   
 control["124"]="0c93864ad638b531dedf10d85880ee79";   
 control["132"]="f0dbac482c9f6d6626a70bf8115515b4";   
 control["140"]="15768f7f5af4e5467304c7162688425d";   
 control["148"]="55b1bed783fd94a1feb06e70af5cd789";   
 control["156"]="cec43159aa1d7ca4982f1c7417b8dd09";   
 control["164"]="9558f5a7152ab8dddc6e5ff819a3fa5f";   
 control["17